Cordage : 10 cordes : 4 doubles + 2 simples * Mécanique de tension des cordes en laiton * Fond en érable en 2 parties * Table en bois résineux non vernie * Rose en ivoire * Chevalet mobile chantourné en ébène * Sillet d'ivoire * Filet d'ébène * Bord de table, de touche et de rose en bois coloré et nacre * 15 frettes de métal * Crosse du chevillier décorée d'un motif d'étoile plaqué nacre et ébène * Vernis brun-rouge * 9 boutons d'accroche au bas de la caisse et 1 bouton supplémentaire pour bandoulière * Inscription sur la rose : "Cousineau à Paris" * Table non vernie * (Source : F. Gétreau : Instrumentistes et luthiers parisiens, 1988).
Dimensions
Longueur totale 760 mm. Longueur caisse 380 mm. Largeur caisse med 295 mm.
Marques et inscriptions
étiquette de restaurateur : 1992 P. Abondance (Source : Joël Dugot, 2012).
Vers 1781 (Paris) : adjonction d'un second rang de pédales à la harpe pour obtenir davantage de demi-tons Après 1780 (Paris) : système d'échos pour la harpe 1782 (Paris) : système de béquilles pour remplacer les crochets de la harpe (brevet de l'Académie des Sciences) 1799 (Paris) : Nouveau mécanisme pour la harpe, déposé en collaboration avec Michel-Joseph Ruelle. Ce brevet sera exploité par le fils de Georges Cousineau, Jacques-Georges Cousineau.
- Liens familiaux
Fils : Jacques-Georges Cousineau (1760-1836).
- Lien(s) de succession
Succède à François Lejeune.
- Notes
Sources : S. Milliot : Les Cousineau, in Dictionnaire de la musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles (1992). C. Pierre : Les facteurs d'instruments de musique (1893). S. Milliot : Documents inédits sur les luthiers parisiens (1970).